Leslie Nr56 : Rencontres Insolites – Conduire Nue Et

Leslie NR56 – Nouveaux récits
Rencontres insolites – Conduire nue et…

J’ai un plaisir dont je ne vous ai jamais parler et que, quand l’occasion se présente, je pratique volontiers.
Dès que je peux, surtout la nuit pour éviter le scandale, j’adore conduire nue, les sensations du vent sur son corps sont extraordinaires, voir jouissives, et souvent au volant de ma Triumph il m’arrive d’avoir des érections, quel bonheur de rouler dans la fraicheur d’une nuit étoilée.

Partie de la région d’Auxerre, où je viens de passer trois jours en compagnie d’un vieil ami, j'ai quitté la maison vers vingt et une heure alors que la nuit commençait à se faire et maintenant deux heures après, il fait nuit noire. L’aire d’autoroute passée était complètement déserte alors profitant du calme et de la solitude je me suis déshabillée, et maintenant je profite du vent sur mon corps nu, dans la douce chaleur de la nuit sur l’autoroute presque vide et sous le ciel étoilé. Plaisir instantané !

J'ai toujours été étonnée par les routiers et leurs habitudes quand ils sont au volant de leur camion. Certains très traditionnels conduisent normalement, mais d’autres ont des comportements plus singuliers, certains conduisent semi-nus, d’autres nus, et certains même se donnent du plaisir en conduisant. Perchés dans leur cabine et plus haut que tous véhicules, ils dominent les situations et ne peuvent être vus.
A la pause sur les aires de repos, ils ont tôt fait de se déshabiller dans leur cabine pour se reposer dans leur couchette, lorsqu'ils sont arrêtés et garés, beaucoup d’eux laissent au moins un des rideaux de la cabine ouvert, pour voir ce qui se passe dehors et aussi pour laisser l’opportunité d’être vus.
Il y a donc toujours beaucoup à voir si vous passez la nuit sur une aire de repos, à voir et parfois à faire.

Je me suis arrêtée sur une première aire de repos sur le chemin du retour,
Triumph décapotée et nue, pour voir et prendre l’ambiance…
Malheureusement, il n'y avait pas grand-chose aux alentours, ça devait dormir dans les deux seules voitures garées et trois camions tous feux éteints et les vitres complètement masquées laissaient penser que les chauffeurs dormaient.

Je me suis garée assez loin des véhicules, isolée, de façon à être au calme au cas où…
Je suis restée assise là pendant quelques minutes, le temps de fumer une cigarette, une voiture est arrivée et une fois parquée non loin de la mienne, un gars est sorti, est passé et m’a jeté un coup d'œil, à été pissé, puis est retourné à sa voiture.
La nuit était claire et je n'étais pas trop gênée pour voir ce qu’il faisait et où il regardait. Une dizaine de minutes plus tard, il est repassé à nouveau, plus près pour voir, m’a dit bonsoir et s'est redirigé vers sa voiture, puis il est parti.
Entre temps un camion noir s’était garé et le chauffeur avait dû assister aux allers et retours du mec, mais rien ne bougeait dans la cabine sombre.
J’ai décidé de repartir pour trouver mon bonheur ailleurs…

En reprenant l’autoroute, d'après ce que j'ai pu voir, en jetant un coup d’œil dans mon rétroviseur en sortant de l’aire de repos, le camion noir avait lui aussi redémarré et me suivait bon train. J’ai ralenti pour le laisser me doubler et lui laisser découvrir ma nudité et voir si cela l’intéressait.
Personne sur la route, que ce camion et moi dans la Triumph, il a klaxonné avant de me doubler en prenant bien son temps alors qu’il était à ma hauteur, puis est passé devant en faisant des clignotements gauche et droite pour me faire comprendre qu’il avait apprécié.
Alors, pour lui en monter un peu plus, je suis revenue à sa hauteur, pour s’il le voulait lui laisser le temps de bien me regarder conduire nue.
Je suis restée à ses yeux pendant quelques minutes pour qu'il puisse bien me voir, lui laissé le temps de bien voir que j’étais membrée
Puis je l'ai dépassé, me mettant devant lui a plusieurs centaines de mètres, et j’ai tenu une vitesse réglée sur la sienne.
Presque arrivé à la nouvelle aire de repos j’ai mis mon clignotant pour annoncer que j’allais me garer, aussitôt j’ai vu dans mon miroir un appel de phares, signifiant qu'il allait se garer lui aussi.

Je me suis garée dans l’endroit le plus sombre, un peu éloigné des véhicules déjà en stationnement j'ai coupé le moteur. Il s'est rapidement arrêté derrière moi, il a allumé la lumière de sa cabine puis la lumière s'est éteinte, comme pour m’indiquer qu’il était là et attendait.
Après quelques minutes, j'ai vu sa porte s'ouvrir et un gars maigre est sorti, avec une belle grosse bite sui sortait de l’ouverture de son pantalon.
Il a marché de long en large le long de son camion n’arrivant peut-être pas à se décider, puis il s'est dirigé vers ma voiture.
Bonsoir.
Je suis sortie de ma voiture en lui revoyant son bonsoir, puis aussitôt j’ai empoigné son membre en lui demandant ;
- Que veux-tu ?
- Que tu me suces !
- Et…
- C’est tout, juste une bonne pipe.
Bon une fois arrivé là, je n’allais pas me dégonfler, alors je me suis agenouillée et je l’ai sucé, mais il a très vite déchargé me laissant quelque peu sur ma faim.
Et puis sans un mot, il s’est réajusté, retourné vers son camion dans lequel il est monté et il est parti, j’attends le merci d’usage.

J'étais frustrée de la tournure des évènements, juste une pipe rapide, certes sur un beau membre, mais rien d’autre, je ne voulais pas finir la nuit par une branlette en solo dans un coin sombre, matée éventuellement par quelques voyeurs se branlant…
Je suis restée dans ma voiture et j'ai juste attendu, j'étais sûre que quelqu'un d'autre viendrait, mais j’espérais rapidement
Tout en attendant quelques voitures sont passés sur l’aire, sans faire attention à moi blottie dans la pénombre, d’autres voitures se sont arrêtées et les conducteurs non même jeté un regard dans ma direction, ainsi que des camions.
Au bout d’une heure, loin de moi, j’ai vu un routier se faire sucer par un minet le long de son camion,

Environ dix minutes plus tard, un camion est arrivé, il a éteint ses lumières mais n'a pas fermé les rideaux. Dix autres minutes plus tard j’ai vu que la lumière de la cabine venait de s’allumer et éteindre d’un coup rapide, puis les rideaux côté route se sont fermés et le chauffeur est descendue de son camion et a allumé une cigarette…
D’où je me trouvais je constatais qu’il avait le torse nu et portait un short, il était trapu et devait avoir une belle queue, mais à cet instant j’étais certaine qu’il attendait que le rejoigne pour me faire monter dans sa cabine et m’allonger sur sa couchette. Je suis sortie de ma voiture, et nue dans l’obscurité de la nuit, je me suis dirigée vers le camion.

Pendant que je m’approchais de lui, je l’ai vu descendre tranquillement son short pour laisser apparaître un membre raide. Comme je le présentais c’était un gars trapu, une belle bite bien raide et des tatouages sur le corps, tout ce que j’espérais.
Je l’ai rejoint et aussitôt en me prenant le sexe d’une main, il m’attira à lui de l’autre pour m’embrasser d’un baiser viril où sa langue ne resta pas inactive.
Je l’empoignais à mon tour et constatais que son membre était, certes pas très long mais, d’une belle grosseur.

Il me fit monter dans sa cabine et sans préambule il enfila un préservatif et me prit en levrette dans sa couchette, l’instant fût bref car il déchargea peu de temps après. S’étant retiré, il me fit comprendre, après un :
- Beau cul !
Que je pouvais regagner ma voiture.
Je suis retournée vers ma voiture et je suis montée dedans, quelque peu dépitée j’ai fumé une cigarette pour faire passer la frustration de ne pas avoir jouit.
Je suis partis, alors que le camion avait disparu, J’allais rentrer à la maison nue, insatisfaite , mais en espérant que sur le chemin la chance serait de mon côté.

A suivre…